Privatisation d'un Château de famille à Chissay-en-Touraine
Le Château de la Ménaudière vous invite à poser vos bagages et à profiter d’un séjour détente au cœur de la nature, dans un lieu d’exception.
Le Château de la Ménaudière, un havre de paix et de liberté !
L’un des authentiques Châteaux du Loir-et-Cher (41), le domaine du Château de la Ménaudière se situe à Chissay-en-Touraine dans une vallée de 26 hectares étalée sur une clairière de chênes centenaires.
Posez vos valises, installez-vous, et profitez des lieux pour vous ressourcer lors de votre séjour.
Un cadre verdoyant, une équipe accueillante et un service de qualité pour une parenthèse détente et apaisante.
Le domaine
Entièrement rénové en Château de famille, le domaine est composé d’un Château et d'une Porterie pouvant accueillir jusqu’à 40 personnes réparties sur 21 chambres.
La Cour d’honneur, bordée de douves sèches, est plantée de 4 magnifiques platanes entourant la fontaine.
Que vous soyez installé au Château ou dans ses dépendances, la verdure et la nature apparaissent aux fenêtres.
Nos équipements pour un meilleur séjour au Château de la Ménaudière
Pour réunir vos proches ou vos collaborateurs dans un cadre hors normes, le Château de la Ménaudière met à la disposition de ses hôtes :
- Un parc en pleine nature,
- Une piscine extérieure avec terrasse
- Un court de tennis
- Un local à vélos
- Un héliport.
- Une hélisurface pour décollage de montgolfière
- Un vaste parking privé pour bus et voitures
- Une salle de séminaire avec wifi
- Une salle de réception.
L’histoire de la Ménaudière
Autrefois, le site de la Ménaudière se nommait la KAËRIE.
De 1443 à 1650, le Domaine de la Kaërie fut la propriété de la famille Briconnet. Jean Briconnet était secrétaire du roi sous Charles VII et Louis XI, receveur des finances et premier Maire de Tours. C’était un homme pieux et bon, il était surnommé « le Père des pauvres ». Sur la pointe du rocher de la Kaërie, une construction médiévale existait déjà au Moyen ge. Il est probable que les épais soubassements qui supportent les deux Tours carrées, le porche et les bâtiments de l'entrée datent de cette époque.
Pendant deux siècles, les Briconnet apportèrent de nombreuses modifications à l'ensemble des bâtiments. Après la démolition de l'ancienne bâtisse, ils construisirent le Château et firent édifier une chapelle. Les fossés de défense furent creusés. À noter qu'une des héritières, Catherine Briconnet, surnommée « la Bâtisseuse » était l'épouse de Thomas Bohier constructeur des premiers bâtiments du Château de Chenonceau.
En 1650, le domaine devient la propriété de Michel Gaillard, seigneur de la Ménaudière.
À partir de cette époque, le nom de la Kaërie disparaît. Cette famille en fut propriétaire jusqu'en 1770.
En 1770, le Marquis de l'Escure, Maréchal de camp des années du Roi, achète la Ménaudière.
En 1788, le domaine est vendu au Baron de Préaux, époux de Julie Le Vayer.
Au décès de ces derniers, le Domaine de la Ménaudière revient à leur neveu, Monsieur De Ferrière.
Au siècle dernier, cette famille réalise de nombreux travaux. Sous le Château, des caves sont creusées dans le rocher, un vignoble est planté sur les coteaux. Le Château est restauré. Des écuries sont construites dans la prairie.
C'est en 1961 que le dernier héritier, le Marquis De Ferrière Le Vayer,
décide de vendre la propriété de la Ménaudière et son Château vétuste à la Mutuelle Générale de l'Enseignement.
Aujourd'hui, que reste-t-il de ce bel ensemble qui a bravé les siècles ?
Une grande allée bordée de vieux chênes conduit aux bâtiments de l'entrée principale. Au centre, une construction carrée qui abritait le pont-levis, conserve les mâchicoulis de défense.
À l'étage se trouvait la chapelle. De chaque côté, les deux petites Tours carrées complétaient sans doute le mur d'enceinte.
À l'extérieur, une belle Tour ronde surmontée d'un toit en poivrière a remplacé l'ancien colombier. Un pont de bois franchit les douves et conduit au porche roman qui débouche dans la Cour d'honneur devant le Château.
C'est une belle construction renaissance, classique et sobre,
sans décorations excessives, les façades sont percées de fenêtres à meneaux et la toiture est allégée par une rangée de lucarnes et de hautes cheminées. Dans la grande salle à manger du rez-de-chaussée, on remarque un magnifique plafond du 18ᵉ siècle aux solives peintes ainsi qu'une cheminée monumentale sculptée aux armes des De Ferrière Le Vayer.
Parfaitement restauré dans le style des « Bâtiments de France », cet ensemble est maintenant aménagé en hôtel trois étoiles. Il accueille désormais une clientèle désireuse de trouver un moment de repos dans le cadre raffiné d'un Château véritable.
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